Le corps d’une jeune femme morte gît sur les rochers qui bordent la plage du Bureau à St Palais. Elle est allongée sur le dos, vêtue d’une robe longue violette toute déchirée, trempée d’eau de mer et tâchée par le sel. Ses cheveux bouclés sont châtain f ...
Pour une poignée de pop corn, Élise, Lucas & Jacques
Mardi 23 mai. 8H50. Commissariat de Royan Dans son bureau mal éclairé, l'inspectrice de police Choupinét, sirote son café, tenant son mug, à deux mains, pour mieux se réchauffer. Son binôme, John Son est assis face à elle, dans un fauteuil, totalement ...
La dormeuse, Laurianne
Cette femme allongée avait toujours des cernes. Malgré les belles nuits, elles étaient à jamais ancrées sous ses yeux. Un regard tremblant vers les gens qui la voyaient. De près ou de loin, personne ne remarquait les pleurs, qui se dissimulaient dans le b ...
Consolation d’un jour meurtri, Annie
Et puis un jour tout passe, pour le meilleur après le pire, et puis un jour tout passe, reviennent les rires... On se remet de tout, douleur, perte, souffrance, un jour, on se remet debout, pour aller vers l'espérance. L'être humain est ains ...
La larme et du sang, Laurianne
Une souffrance comme une larme sur du sang séché. Une douleur, un crève-cœur, Une amie qui ne part jamais, une âme-sœur d’un mariage forcé. La crucifixion d’un innocent La mort d’un enfant Etre ou ne pas être Souffrir ou mourir « Ains ...
Et si on écrivait N° 28 « Partir »
Si vous pouviez partir, là, maintenant, tout de suite où iriez-vous ? Pourquoi ? Que feriez-vous ? …/... (vous pouvez illustrer vos écrits par une photo). Laurence Pour envoyez vos textes, nouveau mail : contact@scenocean17.com (l’ancien fonct ...
Sous la neige, perdue dans Central Park, Laurianne
Sous la neige, perdue dans Central Park, c’est le spleen qui me berce. Eloignée de mes remords, je pense à mes regrets. Il m’a dit « fait-moi confiance ». C’est l’hiver ici, sans lui. La neige est déjà là ! Pourtant l’automne n’a pas eu le temps d’épouser ...
Il n’y a pas d’ailleurs, Laurianne
Il n’y a pas d’ailleurs Te connaissant par cœur Une belle amitié La meilleure à tout jamais Et jamais je ne saurai où aller. Il n’y a pas d’ailleurs Comme si les heures Ces diaboliques fleurs du temps Une vague impassible de l’océa ...
Je l’ai frôlé… Leharet Annie
Je l'ai frôlé du bout des doigts J'aurais pu le garder au creux de ma main , Il était là tout près de moi, Je pouvais l'enfermer dans mon poing. Etait ce le parfum des tilleuls après la pluie, Ou l'odeur de la terre après l'orage, Le murmure du vent ...
Tu es le regard qui m’a traversé, Laurianne
Tu es le regard qui m’a traversé. Tu es le sourire timide et la voix grave qui m’a percé le premier jour. Tu es le rire de chaque trajet de bus. Tu es les yeux rouges remplis de larmes quand je ne vais pas bien. Tu es la phrase « Viens dans mes bras. ...