dormeuse

La dormeuse, Laurianne

Cette femme allongée avait toujours des cernes. Malgré les belles nuits, elles étaient à jamais ancrées sous ses yeux. Un regard tremblant vers les gens qui la voyaient. De près ou de loin, personne ne remarquait les pleurs, qui se dissimulaient dans le b ...

consolation

Consolation d’un jour meurtri, Annie

Et puis un jour tout passe, pour le meilleur après le pire, et puis un jour tout passe, reviennent les rires... On se remet de tout, douleur, perte, souffrance, un jour, on se remet debout, pour aller vers l'espérance. L'être humain est ains ...

larme

La larme et du sang, Laurianne

Une souffrance comme une larme sur du sang séché. Une douleur, un crève-cœur, Une amie qui ne part jamais, une âme-sœur d’un mariage forcé. La crucifixion d’un innocent La mort d’un enfant Etre ou ne pas être Souffrir ou mourir « Ains ...

ET SI ON ECRIVAIT

Et si on écrivait N° 28 « Partir »

Si vous pouviez partir, là, maintenant, tout de suite où iriez-vous ? Pourquoi ? Que feriez-vous ? …/... (vous pouvez illustrer vos écrits par une photo).   Laurence Pour envoyez vos textes, nouveau mail : contact@scenocean17.com (l’ancien fonct ...

neige

Sous la neige, perdue dans Central Park, Laurianne

Sous la neige, perdue dans Central Park, c’est le spleen qui me berce. Eloignée de mes remords, je pense à mes regrets. Il m’a dit « fait-moi confiance ». C’est l’hiver ici, sans lui. La neige est déjà là ! Pourtant l’automne n’a pas eu le temps d’épouser ...

ailleurs

Il n’y a pas d’ailleurs, Laurianne

Il n’y a pas d’ailleurs Te connaissant par cœur Une belle amitié La meilleure à tout jamais Et jamais je ne saurai où aller. Il n’y a pas d’ailleurs Comme si les heures Ces diaboliques fleurs du temps Une vague impassible de l’océa ...

tilleul

Je l’ai frôlé… Leharet Annie

Je l'ai frôlé du bout des doigts J'aurais pu le garder au creux de ma main , Il était là tout près de moi, Je pouvais l'enfermer dans mon poing. Etait ce le parfum des tilleuls après la pluie, Ou l'odeur de la terre après l'orage, Le murmure du vent ...

love

Tu es le regard qui m’a traversé, Laurianne

Tu es le regard qui m’a traversé. Tu es le sourire timide et la voix grave qui m’a percé le premier jour. Tu es le rire de chaque trajet de bus. Tu es les yeux rouges remplis de larmes quand je ne vais pas bien. Tu es la phrase « Viens dans mes bras.  ...

savon

Le savon qui nous sauva en 2020, Annie

Mai 2020 : ce fut un déconfinement furtif et hyper prudent, puis, un reconfinement pour 15 jours supplémentaires... on ne s'en sortait pas ! Dès qu'un semblant de liberté nous était rendue, avec parcimonie, la « bête » attaquait de plus belle. Si votre t ...